LA RESPONSABILITÉ
D’UNE ENTREPRISE FAMILIALE
« Je retiens de ma mère des valeurs de courage, de travail…
des principes, comme celui de ne pas se laisser impressionner,
de ne pas reproduire un schéma donné. »
— Brice Errera
Galia est un groupe immobilier familial créé il y a 40 ans qui met son savoir-faire au service de la réalisation de projets diversifiés tels que des boutiques-hôtel, des bureaux contemporains, des opérations
mixtes innovantes …
Aujourd’hui constitué d’une équipe de 33 experts de métiers de l’immobilier (développeurs, financiers, ingénieurs et gestionnaires) l’entreprise a pour vocation d’imaginer et bâtir des lieux de vie ancrés durablement dans leur environnement et au service de ceux qui les habitent (résidentiel, commerces, bureaux, hôtellerie).
Mais Galia c’est aussi une histoire de famille originale qui commence au féminin dans un milieu d’hommes. Galia est l’acronyme du nom de sa fondatrice GAd JuLIA. Femme de tête, personnalité emblématique qui n’a jamais eu peur de concilier réussite sociale, professionnelle et affect. Une autorité naturelle, forte et attachante, audacieuse, consciente et responsable de ses actes, de sa carrière.
« Je retiens de ma mère des valeurs de courage, de travail… des principes, comme celui de ne pas se laisser impressionner, de ne pas reproduire un schéma donné. C’était beau de la voir, lorsque j’étais enfant, se battre dans un univers machiste. Avec pour unique arme son envie secrète d’en découdre, son courage et sa persévérance, elle arrivait toujours a son but et forçait l’admiration de ceux qui au début la prenait de haut »
Julia transmet une exigence de tous les instants, elle montre qu’à force de travail et d’envie tout devient possible. Sa maxime préférée est : « le difficile prend du temps et l’impossible un peu plus ».
Fort de ses réussites elle garde toujours en mémoire le milieu modeste dans lequel elle est née. Aussi pour elle ce qui est autre valeur fondatrice : « la richesse est ce qui se partage ». C’est ce qui explique pourquoi Galia a toujours aujourd’hui à coeur de réaliser des opérations à vocation sociale.
Enfin il faut pour avancer toujours garder une part de rêve. Elle répétera cet autre maxime à l’envie : « celui qui ne rêve pas n’est
pas réaliste ».
Voici donc l’héritage qu’il s’agit de garder et de transmettre. C’est une ambition faite de rêve et de travail sans relâche, une chance qu’on force par son acharnement, une envie de faire du sens pour rendre la pareille et pouvoir partager.
Chaque bien acquis est, pour Galia, source d’interrogation, de discussion, d’imagination. Il y a derrière toute transformation une recherche d’harmonie, une volonté à la fois culturelle et naturelle, celle de préserver l’âme d’un lieu, d’envisager un nouveau rapport à l’habitat, à l’hospitalité.